Projet d'implant mondial
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- Le 21/08/2020 à 11:18
- Dans Notre sécurité
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La prise de conscience serait-elle au sein de l'église ?
Pourtant, la partie la plus effrayante de 2020 est invisible, elle se passe à huis clos :
Les Nations unies coordonnent une attaque contre la liberté religieuse
C’est ce qu’a révélé un récent rapport mettant en cause les croyances et valeurs religieuses traditionnelles concernant le droit à la vie des bébés à naître, mais aussi sur le sexe biologique ; rédigé par le rapporteur spécial des Nations unies sur la liberté de religion ou de conviction, Ahmed Shaheed.
M. Shaheed a choisi de poursuivre un programme controversé qui inclut l’avortement et les droits des LGBT+.
Son rapport considère que les croyances religieuses qui valorisent le droit à la vie, le mariage traditionnel et le sexe biologique constituent une violation des droits de l’homme.
À l’heure où 80 % de la population mondiale est confrontée à de fortes restrictions concernant la liberté de religion, les Nations unies donnent du temps — et un micro - à un homme qui s’efforce de saper encore plus la liberté religieuse.
Les Nations Unies sont composées de 193 États souverains. Certains d’entre eux ont été fondés ou sont enracinés dans la foi religieuse. La plupart prétendent respecter les valeurs religieuses des citoyens. Cette pétition est l’occasion pour nous d’envoyer un signal aux 193 pays qui composent les Nations unies, afin de leur faire comprendre que des bureaucrates coordonnent des attaques contre notre foi et nos valeurs.
Le rapport met scandaleusement en contradiction les croyances religieuses sur la vie, le mariage et le sexe biologique et les droits de l’homme. Les convictions religieuses, la foi… conduiraient à des violations des droits de l’homme.
Aucun traité international ne reconnaît un droit à l’avortement, mais le rapport affirme simplement que ce droit existe et qu’il l’emporte sur la liberté de conscience des personnels de santé
M. Shaheed recommande une intervention des États en matière de « doctrine religieuse’, en limitant encore plus la liberté de conscience et accusant et stigmatisant les « religions conservatrices’ et les adeptes de violations des droits de l’homme.
En d’autres termes, ce rapporteur dit au monde que des croyances comme les vôtres n’ont pas leur place — et encore moins sur la place publique ! La triste ironie est que ce rapporteur spécial Ahmed Shaheed porte atteinte aux personnes, aux institutions et à la liberté qu’il est théoriquement chargé de protéger !
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