1- Collusion entre les décisionnaires et les laboratoires.
C’est ce que révèle le COVD-19.
Dans l’affaire du COVD-19 (coronavirus), nous voyons le spécialiste mondial de l’infectiologie (le professeur Didier Raoult) attaqué par tous les médecins rétribués à un titre ou à un autre par l’industrie pharmaceutique (ou dont les revenus dépendent des médias, eux-mêmes inféodés aux industriels).
Rappelons que pour le professeur Raoult le confinement est « une solution moyenâgeuse ».
Le confinement n’est pas une solution à la progression du virus.
La solution, c’est le dépistage du covid-19 pour tous et la chloroquine dès les premiers symptômes.
Or que fait le gouvernement français ?
Il interdit l’usage de la chloroquine à tout public pour, par décret, les réserver uniquement aux malades si sévèrement atteints qu’ils sont déjà mourants.
Les raisons ? Oon peut toujours en trouver des quantités. Mais on notera qu’une des personnalités membres du « Conseil scientifique » est rétribuée par deux laboratoires parce qui il prépare un médicament à venir.
Ce type de médecins n’agit pas dans l’intérêt des malades, mais pour des intérêts privés. Il ne devrait pas siéger à un tel conseil.
2- Utilisation des institutions médicales pour abolir l’État de droit.
Le COVID-19 révèle aussi que les institutions médicales décisionnaires sont utilisées à des fins politiques pour abolir les États de droit.
Ceci est particulièrement vrai en France où le président français vient d’instituer un élément qui n’existe pas dans la Constitution : « l’État d’urgence sanitaire ». C’est-à-dire qu’il peut prendre prétexte de toute maladie, mais aussi n’importe quoi d’autre qu’il jugerait comme ressortant du domaine sanitaire pour établir un « état d’urgence » et agir par ordonnances sans jamais avoir à faire passer de lois.
Cette loi vient d’être votée au Sénat et doit revenir à l’Assemblée nationale.
Certaines des mesures incluses dans cette loi.
Le gouvernement peut, selon son propre arbitraire : interdire toute réunion (même politique), interdire toute entreprise, interdire aux personnes de sortir d’un certain périmètre, etc. (Sans parler de la législation du travail où déjà certains secteurs voient leur horaires hebdomadaire passer de 40 h à 60 h.)
Cela s’appelle un Coup-d’Etat.
Un coup d’État qui s’appuie sur des arguments sanitaires, et qui utilise pour ce faire les instances médicales, ainsi que les membres rétribués de ces instances pour parvenir à cette fin.
3- Les médecins honnêtes et les citoyens doivent reprendre le contrôle de leur médecine et de leurs institutions.
En voici la charte.
Nous citoyens de tous pays :
– Refusons que les instances médicales soient utilisées à des fins politiques.
– Refusons que les membres des instances médicales décisionnaires soient rémunérés (ou aient été rémunérés) à un titre ou un autre (finances, cadeaux, poste rémunéré ou bénévole) par des laboratoires pharmaceutiques ou des industriels de la pharmacie.
– Demandons qu’aucun ministre de la santé, de quelque pays que ce soit, qu’aucun membre des équipes gouvernementales, de quelque pays que ce soit, n’ait été rétribué par des laboratoires ou des industriels de la pharmacie.
– Que l’on expulse de tout « conseil scientifique » (comme celui actuellement au gouvernement français) les médecins ayant été rétribués à un titre ou un autre par des laboratoires ou des industriels de la pharmacie.
– Exigeons un nettoyage immédiat et complet des instances médicales décisionnaires pour que seuls les médecins tirant leurs revenus de leur propre travail y siègent.
– Qu’il soit établi un organisme de contrôle de toutes ces instances, organisme où siègeront à la fois des professionnels de la médecine et des citoyens sans aucun rapport avec la médecine afin de garantir l’impartialité de leur avis.
Appel à l’union !
Je demande solennellement à tous les habitants, de la France et des autres pays, à tous les professionnels de la santé (médicaux ou paramédicaux), à tous les soignants, à toutes les infirmières et à tous les infirmiers, à toutes les aides-soignantes et à tous les aides-soignants, à tous les ambulanciers, à toutes les personnes honnêtes qui travaillent pour un laboratoire, à tous ceux qui de près ou de loin sont concernés par le domaine de la santé de s’unir, et de reprendre, ici et maintenant, le contrôle de toutes les instances médicales qui ont été détournées de leurs finalités, et d’exiger des États qu’ils cessent d’utiliser les instances médicales à d’autres fins que celles des soins réels.
Merci pour tous les habitants de cette planète et merci pour notre futur à tous.
Patrick Huet – écrivain.